L’unité ne s’accorde pas au singulier. Le photographe dévoile la multiplicité des êtres. De l’ouverture à la fermeture, les facettes de ce qui divise et renforce est mis à nu. Le mouvement des forces et faiblesses dessine le contour de cette série. Les opposés s’attirent et s’additionnent pour ne former qu’un unique individu. Poussé dans ses retranchements (…) Intensité physique. »